Régler ma dette fiscale non récurrente et urgente, pouvoir conserver la propriété de mon domicile et couvrir l’absence de revenus de base dans l’attente d’une nouvelle activité rémunérée, ardemment recherchée, tels sont les trois besoins que j’ai présentés à l’AX.

L’AX m’a accordé un prêt pour traverser cette mauvaise passe et dès que ma situation s’est rétablie j’ai pu lui rembourser la somme due.

Ce qui m’a immédiatement frappé lorsque je suis allé chercher de l’aide, c’est la simplicité d’accès des deux camarades qui dédient leur temps à la solidarité polytechnicienne depuis des années ; c’est aussi la relation de confiance qui s’est rapidement installée entre eux et moi ; c’est cette même confiance, nourrie également par la camaraderie entre X qui m’a permis de « dire les choses » et de partager « sous X » (c’est le cas de le dire !) une vérité qui ne va pas de soi. »

Vers la fin de ma troisième année à l’X, je suis tombé gravement malade et j’ai dû être hospitalisé pendant plusieurs mois.

Quand je m’en suis enfin remis, j’ai été obligé de constater que j’avais perdu le lien avec l’École et que je n’avais pas de diplôme.

J’ai trouvé un job de serveur, puis j’ai été promu chef de rang. Financièrement, cela suffisait à subvenir à mes besoins, mais, moralement, je regrettais de ne pas avoir fini mon cursus à l’X.

J’ai donc décidé de faire appel à l’AX, où j’ai été accueilli avec beaucoup de bienveillance. Ils ont contacté l’École et appris que je pourrais avoir mon diplôme d’ingénieur si je répondais à certaines exigences académiques.

Grâce à l’aide financière que l’AX m’a apportée, j’ai pu quitter mon poste de chef de rang et valider cette troisième année qui m’avait échappée.

Ensuite, l’AX m’a mis en contact avec le camarade Gérard Malherbe (70), coach et chasseur de têtes professionnel, qui m’a donné des conseils précieux dans ma recherche d’emploi.

Aujourd’hui, j’ai mon diplôme et je suis ingénieur analyste dans une grande société.

Et tout cela grâce à l’AX et à la solidarité polytechnicienne. Sans leur soutien et la confiance qu’ils avaient en ma capacité à mener ce projet à son terme, je n’aurais sans doute pas réussi ! »

Je souhaitais réaliser ma quatrième année dans une autre ville de France, mais la recherche de logement s’est révélée assez compliquée. On me demandait beaucoup de garanties que je ne pouvais fournir. Mes parents ne pouvaient se porter garants car leurs revenus n’étaient pas assez élevés pour cela.

J’ai donc contacté l’AX car j’avais entendu qu’elle avait un service de caution logement.

Après un entretien où j’ai exposé mon projet professionnel et mes motivations pour suivre ma 4A dans la ville en question, l’AX s’estporté caution et cela m’a permis de signer mon contrat delocation.

Je lui serai toujours immensément reconnaissant pour son aide et pour son soutien. »